mardi 20 avril 2010
POEME FUGACE
George Auriol ( 1889)
J’ai mis le Surplus de mon Trop
Dans le Néanmoins de ton Pire ;
Avec des airs de maestro,
J’ai mis le Surplus de mon Trop.
Un cheval passait au grand trot,
Nous étions encor sous l’Empire…
J’ai mis le Surplus de mon Trop
Dans le Néanmoins de ton Pire.