Il s'agit de Sergio Cicala, et de sa femme, l'Italo-burkinabè Philomène Kabouré. Enlevés depuis décembre dernier, leur histoire avait connu un sacré rebondissement, lorsqu'au début du mois de mars, elle avait refusé d'être libérée, ne voulant pas le laisser seul aux mains de ses ravisseurs.
L'ultimatum fixé par Aqmi expiré le 1er mars. Devant l'intransigeance de la Mauritanie, se sont encore les bons offices maliens et burkinabés qui, semble-t-il, ont été déterminants (en particulier la médiation du président Blaise Campaoré). Pour le moment, il n'est pas question, que ce soit dans les médias africains ou européens, de rançon, ni de libréation de combattants islamistes, comme ce fut le cas pour Pierre Camatte.(photo : Jcolman)
A lire :
L'enquête sur les ramifications de l'Aqmi, par le Quotidien de Nouakchott
Les commentaires de la presse africaine concernant la situation du couple italien, en mars dernier