La grève se poursuit à la SNCF, même si la mobilisation est en baisse après 13 jours de galère. La direction à la SNCF dénombre 28,49 % de grèvistes chez les contrôleurs, 32,67 % chez les conducteurs et 3,97 % pour l’ensemble des cheminots. Des privilégiés qui prétendent faire la révolution !
Le poids des prélèvements obligatoires est devenu insupportable, le chômage frappe de plein fouet les salariés du privé, le système des retraites est menacé à terme malgré les efforts répétés exigés jusqu’à présent du seul secteur privé, mais les syndicats de la fonction publique s’en fichent…
Les syndicats sacrifient leurs « clients » à des guerres intestines. Les employés de la SNCF sont habitués à se nourrir d’argent public, qui remplit leurs caisses de retraite, paie leurs salaires et leurs privilèges et renfloue leurs déficits…
Quand des millions de travailleurs « galèrent » pour se rendre à leur travail et gagner leur vie depuis près de 12 jours, ils pourront valablement se demander qui les syndicats, censés les protéger, défendent actuellement : les travailleurs ou quelques privilégiés qui non seulement son assurés de ne jamais être au chômage mais jouissent aussi, d’avantages sociaux.
Départ à la retraite à 50 ans par le jeu de bonifications inconnues ailleurs, mais aussi calcul de leur retraite sur les 6 derniers mois et non sur les 25 meilleures années ; et pendant leur vie active, le bénéfice d’avantages sociaux payés par le contribuable avec soins médicaux gratuits, vacances fortement subventionnées par les contribuables, etc…