Ainsi, au Royaume Uni, une récente étude de l'HESA (Higher education statistics agency) révèle que universités les plus prestigieuses admettent encore peu d'étudiants issus de milieux défavorisés, en dépit de tentatives répétées pour accueillir une plus grande diversité d'étudiants. L'enquête se base sur le taux d'inscription de jeunes venus de quartiers dits « défavorisés ». Dans 20 universités prestigieuses axées sur la recherche, ces jeunes ne représentent que 5 % des effectifs. Des universités comme Oxford et Cambridge accueillent en premier cycle 2,7 % (soit 75 étudiants sur un effectif total de 2 875) et 3,7 % (soit 105 sur 2 930) d'étudiants de milieux défavorisés, respectivement.
En moyenne, 10 % des étudiants du Royaume-Uni proviennent de quartiers défavorisés . Ce taux a l
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