Pour lui l’enfer, le quartier des émigrés récents de la petite délinquance et de l’impuissance de la loi, là il va rencontrer le petit Claudio, futé, vif, élevé par une mère qui plaît beaucoup à notre enquêteur. Le cadavre de Claudio est découvert peu après. Sarti Antonio va s’obstiner à trouver la vérité sous toutes les apparences et, avec son ami le philosophe Rosas, il va fouiller derrière le paravent des bonnes consciences.
Éditions MÉTAILIÉ
Dans un style inimitable, L. Macchiavelli suit son personnage, le tarabuste, le malmène, le plaint, l’accompagne, l’aime parce qu’il est imparfait et boit autant de café que lui. Un bon polar, cruel et tendre, sur une ville disparue.