L’Islandais est peu nombreux, mais teigneux : ses banques créent des catastrophes planétaires, ses volcans paralysent les avions… Un ami est bloqué à New York et ne sait pas quand il reverra sa famille…
Rappel de ce que notre économie tient à la bonne volonté d’une nature que nous prenons un peu trop pour un acquis. D’ailleurs, la mode des « supply chains » qui a eu le vent en poupe ces derniers temps ne présente-t-elle pas quelques coûts que nous n’avions pas identifiés ?
Ne serait-il pas tant de revoir notre système de transport, au moins aérien ? Il semble qu’il soit difficile de protéger les avions. Mais ne serait-il pas possible de construire le réseau aérien un peu comme Internet ? En s’assurant que les défaillances des nœuds du réseau ne lui sont pas fatales. Autrement dit, mieux répartir les aéroports (danger des « hubs »), et les relier par des TGV. (Mais aussi moins utiliser l’avion, et les transports fragiles ?)