17 avril 2010
Merde à ferrat, à nouveau... Il a insulté Jacques Rossi! Vos mémoires coutes sont dégueus!
LEs plus jeunes sont d'accord (http://ilikeyourstyle.net/2010/03/16/jean-ferrat-pourriture-communiste/)! Et s'insurgnent contre le fait que Ferrat a insulté et traité de menteur un rescapé des camps soviétiques... Et qui? Jacques Rossi! L'auteur du Manuel du Goulag...lisez ce livre, si vous n'êtes pas lâches! Ferrat a osé, ce SALAUD! Sa chanson anti goulag est effroyable, après ça: comment y croire? l le disait : "ne me plaignez pas" et ajoutait qu'il avait honte d'y avoir cru, lui... Lisez son livre et voyez ce que niait Ferrat! Et dire ue j'avais oublié cette ignominie, ne m'inéressant qu'à celle de certains textes! Négationniste, le Ferrat! UnFaurisson coco!
Ferrat a nié le Goulag! Et des gens le défendent? Honte! MArie-Claude Vaillant-couturier disait, elle , que le système pénitentiaire soviétique permettait la régénération des criminels...Ferrat n'a pas protesté, bien au contraire!
Hé oui, encore un retrourneur de veste! agressant une victime du goulag avant de prendre ses distances avec le communisme! Bravo la girouette! Ce fut très à la mode de "prendre conscience" soudain, vers 69 et le statut de "coco repenti" faisait vendre!
ET très pudiquement on raconte l'incident (http://pagesperso-orange.fr/mb46/bregent/theme_ferrat.htm genre politiquement correct!)
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Puis vient le temps terrible des désillusions et des remises à jour des mensonges de l'histoire. En novembre 1980, il réagit officiellement. Dans "Le Bilan", il attaque le bilan positif du socialisme soviétique claironné par Georges Marchais en chantant : Ah, ils nous ont fait avaler des couleuvres de Pragues à Budapest, de Sofia à Moscou, les staliniens zélés qui mettaient tout en œuvre pour nous faire signer les aveux les plus fous. Quand j'entends parler de bilan positif, je ne peux m'empêcher de penser à ces millions de morts qui forment le passif. Puis, il semble regretter les paroles de cette chanson en s'alignant de nouveau sur la ligne du Parti et en appelant à voter pour Georges Marchais. Pour lui, malgré les dérapages, le communisme doit rester avant tout un idéal pur. Il regrette de voir les Russes revenir au culte du Tsar Nicolas II. Lors de l'émission télévisée de Stéphane Courtois auteur de l'ouvrage "Le Livre noir du communisme - Crimes, terreur, répression", aux éditions Robert Laffont, Jean Ferrat tente de venir en aide à Robert Hue pour justifier le combat du PCF et le dissocier des crimes de Lénine, Staline, Mao Tse Tong et Pol Pot qui en tout ont fait près de cent millions de morts. Très embarrassé, par la nature des documents officiels en provenance des archives soviétiques et surtout par la présence sur le plateau de l'ancien communiste Jacques Rossi, auteur de "Qu'elle était belle cette utopie", d'un "Manuel du Goulag", qui fut détenu pendant 19 ans en URSS, lequel réclamait que le communisme soit classé, comme son frère le nazisme, "Crime contre l'Humanité". Très perturbé et très nerveux, il tente alors une vaine et pathétique manœuvre de diversion en amenant le débat sur Le Pen et l'extrême droite jusqu'à ce qu'on lui fasse comprendre qu'il sortait du sujet.
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Répugnant Ferrat qui a osé contredire une victime! Lu, le fils d'uneautre vicitme: Ecoeurant! l!e talent n'excuse rien et surtout pas l'ignorance de ses fans qui ne voient que le rénégat complaisant! Alors, les commentayteurshargneux? Vous approuvez l'agression infâme de Ferrat contre Rossi? ,Oser s'en prendre à un rescapé!
Il faut démystifier nos légendes bien commodes, nos complaisances bornées! c'est tellement facile le "je ne veux pas le savoir", parole de haine! Et ça plaît à la fausse gauche!
Voici un extrait de commentaire sur un blog, intéressant (http://yahoo.bondyblog.fr/news/201003200001/la-semaine-de-faiza-21):
À mon avis, ce n’est pas parce qu’un type passe l’arme à gauche qu’il devient respectable!
Ce même Jean Ferrat, idolâtré comme la "vache sacrée" du système, avait le culot de se s’autoproclamer “chanteur interdit”, tout en faisant lui-même interdire une parodie de Thierry Le Luron…
La mort, finalement, clôture l’histoire et scelle les faits dans l’éternité. Jean Ferrat sera pour l’éternité ce qu’il a été: un méprisable produit de la bobocratie et de l’avidité politique. Ni plus, ni moins.
N'oublions pas qu'il a également été invité un soir à l’émission "La marche du siècle" et fut confronté pour le coup à Jacques Rossif (un rescapé des camps de concentration socialistes de Russie) qu’il a pour l’occasion insulté, traité de menteur et traîné dans la boue… Quel artiste et quel beau spectacle!
“Le communisme est un idéal de justice, de solidarité, l’espérance d’une progression des conditions de vie des hommes dans notre monde” beuglait-il.
Les disparus du Goulag, entre autres, apprécieront…
Et Jean Ferrat savait que des millions de gens étaient dans des camps en Union soviétique et que le régime policier terrorisait la plus grande partie de la population. Aucune ignorance là-dedans.