Au dernier étage de nos administrations centrales les principaux responsables issus des meilleures écoles de la nation ont une forte propension à couper les cheveux en 4 (faute de ne pouvoir torturer les trombones, activité réservée aux étages inférieurs). Notre structure hospitalière est reconnue pour la qualité des soins grâce, en particulier à un personnel soignant particulièrement performant. Mais cela ne suffit pas pour valider un service de pédiatrie pratiquant les opérations à cœur ouvert sur les jeunes enfants. Sans entrer dans les détails il s’agissait d’une sombre histoire de mobilité interne entre blocs d’intervention avec un CPP (contrat Public Privé entre le CHU et Pasteur). Résultat : la Roseline ordonne la fermeture du service. Imaginez les conséquences pour des parents de CASSOULET’LAND en demande de soins vitaux pour leurs enfants…obligés de se rendre à Marseille ou Paris. Heureusement la mobilisation des équipes et des parents a permis d’obtenir l’agrément et la réouverture officielle du service cette semaine. Bravo à tous.
J'ai parfois des hauts le coeur lorsque nos élus verts cautionnent des opérations de communication avec des gadgets comme ce trottoir lumineux . Il serait temps que la CASSOULET'CITY s'appropie avec un peu de sérieux ces sujets. Des essais sont naturellement les bienvenus. Mais si possible avec discernement, méthode et résultat car il s'agit de l'argent du contribuable. Je préfère les essais de B.Delanoé pour notre bilan carbonne.
Mes occupations professionnelles (hé oui on peut être blogueur et avoir un métier mooonsieur…) ne
m’ont pas permis de parler de la retraite. Heureusement d’autres blogueurs l’ont admirablement fait. Je désespère pas de porter ma pierre à l’édifice au déficit au cours de cette période de négociation.
Le vainqueur cette semaine c’est le blogueur Jiho et toute l’équipe de SINE HEBDO qui, malgré les difficultés financières de leurs canards produisent et éditent des dessins humoristiques toujours aussi corrosifs même si l'anticléricalisme y est pratiqué avec trop de facilité (c'est naturellement plus aventureux de se coller à la burqa...). Bonne continuation et surtout bonnes ventes (il manque un petit millier de lecteurs sur le territoire ; il faut le faire savoir faute de budget publicitaire).