« Parfait, rien à ajouter, rien à retirer »
St Éxupéry.
Naître Parfait et le rester, tout au long de sa vie, jusqu’au dernier moment reviendrait à dire que le Parfait se conjugue au passé, au présent et au futur et laisserait peu de place à l’erreur…
Il est malgré tout et bien évidemment des Parfait imparfaits, parfaits dans leurs imperfections et heureusement pour eux… Car si en plus du prénom, ils étaient tout parfaits qu’est ce qu’ils seraient chiants et le Saint Chiant n’existe pas, en tous les cas n’est pas fêté. Et pourtant des chiants y en a plein… Bien plus que des parfaits d’ailleurs.
Bref, que de clins d’œil autour de ce prénom, facile ou dur à assumer ?
Avec l’humour, tout peut aller, le prénom n’est pas du prêt-à-porter, il faut savoir le personnaliser et puis un peu le conjuguer : parfait du suggestif, moins que parfait, conditionnel non parfait…
Tous les temps sont bons si l’on sait se faire aimer.
Bonne fête les Parfait ! (18 avril)