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La vraie fille assume et profite de son célibat

Publié le 16 avril 2010 par Fany1983

La vraie fille assume et profite de son célibatVoilà maintenant quelques semaines que je suis célibataire. En faisant le compte, cela faisait plus de huit ans que je n’avais pas été seule !

C’est d’ailleurs sans doute pour cela que j’étais persuadée que je ne saurais pas être célibataire, que je le vivrais mal et que je m’accrochais donc à une relation bancale… Et oh, miracle ! Oui je sais faire !

Etre célibataire m’a permis de me retrouver en quelques sortes.

En effet, pour nous les femmes, l’amour occupe bien souvent la première place dans nos vies. Et bien rapidement, obnubilées par « comment faire pour le garder », « comment faire pour qu’il nous mange dans la main », ou « comment faire pour illuminer sa vie », on en arrive à oublier qu’on existe en dehors de lui !

Le fait de donner à l’amour la première place dans sa vie, n’est pas le problème en soi. Je dirais plutôt, que ce qu’il faut éviter, c’est le déséquilibre entre l’amour pour son chéri, l’amour de soi, et l’amour pour l’autre en général (enfants, amis, famille).

Et ce n’est que depuis que je suis célibataire que je me rends compte que je ne m’étais consacrée qu’à l’amour pour mon chéri. Pourtant je vous assure que c’est tellement agréable de prendre soin de soi (seulement pour soi), de regarder autour de soi et de s’ouvrir à des rencontres intéressantes, de faire des projets personnels,…

C’est donc sur ce point que les femmes doivent prendre exemple sur les hommes, qui eux, savent très bien jouer avec cet équilibre. Équilibre qui, s’il est respecté, permet de beaucoup mieux vivre cette période où on doit se passer de l’amour d’un chéri.

Par ailleurs, on se sent tellement mieux dans sa tête, qu’on comprend vite que le célibat ne sera que provisoire, et que ce n’est pas une période insurmontable. D’autant qu’il a quelques petits avantages bien agréables…

En résumé, n’oubliez pas : l’amour est partout et ne se résume pas au seul partage avec un conjoint. Sachons donc le développer, le voir, en profiter parce qu’il est un peu partout, à condition de savoir (vouloir) le voir.



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