A l’heure où les aventures extraordinaires Adèle Blanc-Sec, jeune et jolie aventurière du début du 20ème siècle, débarque dans nos salles de cinéma obscures j’ai comme une envie soudaine de remonter les années et revivre au temps de la Belle Epoque.
Non pas pour faire avec une razzia réussie chez les antiquaires et brocanteurs susceptibles de reconstituer l’univers bourgeois de l’année 1912 (quoique) mais plus pour revêtir les longues robes et grands chapeaux à plumes qui me fascinent depuis mon plus jeune âge.
Avec son dernier film, Luc Besson nous étonne encore un peu plus.
On découvre l’univers mystérieux de cette intrépide journaliste et au fil du récit, les décors autant que les costumes apparaissent aussi époustoufflants les uns que les autres.
Le toilettage apporte une silhouette inédite à l’héroïne, une dimension glamour, qui dans l’oeuvre originale de la bande dessinée de Jacques Tardi en 1976, était bien la dernière de ses préoccupations.
A l’époque d’Adèle Blanc-Sec les femmes ne portaient…
Ni jeans, ni stilettos et encore moins les mini jupes.Les codes de l’élégance et de la sobriété étaient de rigueur et généralement représenté par de lourdes robes, pour la plupart féminines mais pas si confortables qu’elles en avait l’air :
la [...]
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