Plusieurs employés du Samu social sont en grève depuis le 31 mars. Ils demandent une revalorisation de salaire et l’instauration de primes de risque.
Constitué en groupement d’intérêt public (GIP), l’organisme est financé à 70 % par du public et à 30 % par du privé. Cette répartition se fait entre multiples acteurs. Au côté de l’Etat, on trouve la Ville et le département de Paris, EDF, Gaz de France, la SNCF, PSA-Peugeot et l’Assistance publique-hôpitaux de Paris.