Présentation de l’éditeur :
Une jeune femme au bord du mariage comme d’autres le sont au bord de la crise de nerfs. Une jeune femme qui attend son promis dans une voiture aux vitres fumées, homme plus âgé qu’elle, père de famille, un chrétien, un homme solide, quand elle est juive, émotive, lyrique, et surtout, qu’elle refuse de grandir parce que ses parents mal divorcés sont eux-mêmes des enfants.
Une jeune femme vêtue de blanc, offerte mais interdite, cherchant un rabbin à l’esprit ouvert pour marier une rebelle et un catholique.
Une jeune femme et ses souvenirs, les accidents de la vie, les amants quittés, les os fracassés, et en prime, l’ombre tutélaire de Marguerite Duras et d’Albert Cohen.
Un mariage et un enterrement.
Un roman à fleur de peau, entre comédie et psycho-drame, clan recomposé et mémoires en miettes.
L’idée m’a intéressée : une jeune femme qui sur le point de se marier, réfléchit et revoit le couple formé par ses parents. Voilà pourquoi j’avais eu envie de lire ce livre !
Un vaste programme qui s’annonçait comme un retour dans les souvenirs d’Eva avec des mises au point pour s’affirmer. On apprend que chacun de ses deux parents s’est déchargé de toute éduction en l’emmenant à tour de bras voir les psys. Une enfance chaotique, des déménagements à n’en plus finir et le poids de la famille….
Au début, Eva m’a attendrie, elle m’a semblée fragile mais au fil des pages, j’ai éprouvé une sorte de lassitude car je ne voyais pas où l’auteure voulait m’emmener.
Pour moi, ça a été une lecture sans émotions qui m’a laissée indifférente ou alors je suis complètement passée à côté de ce livre…
Merci aux éditions Grasset pour ce livre