« L'auteur présumé des coups de couteau portés à Martin s'est présenté au commissariat mardi en fin d'après-midi. La victime, 23 ans, a été entendue lundi par les policiers.
Le groupe d'amis a pressé le pas pour échapper aux provocations. Mais au bout de 200 mètres, sur la place Grenette, «ils ont commencé à le frapper et Martin s'est retrouvé à terre, raconte son camarade. On a essayé d'intervenir, mais les cinq ou six du départ ont reçu le renfort d'autres jeunes. Ils étaient au total quinze ou vingt.» (...)
Une jeune fille, autre témoin direct, cité par Le Dauphiné, raconte : «Ils l'ont passé à tabac et se sont acharnés sur lui avec une violence inimaginable. L'un des agresseurs a même pris son élan pour lui décocher un coup de pied dans le dos.» Tout à coup, l'un des voyous a dit : «On se barre ! On se barre !» À cet instant, le groupe d'agresseurs s'est divisé en deux pour prendre la fuite. Martin venait d'être frappé de deux coups de couteau, dont l'un dans le dos.(...)
Mardi, la police avait arrêté sept personnes, dont cinq mineurs. En fin de journée, le suspect principal, un jeune adulte connu des services de police pour violences, s'était présenté au commissariat de police, où il a été placé en garde à vue. Agé d'une vingtaine d'années, le jeune homme a été identifié comme l'auteur des coups de couteau sur la base de divers «témoignages» et d'«éléments techniques». Il a reconnu «avoir eu le couteau en main mais assure que ces coups seraient involontaires», a-t-on précisé de source judiciaire. Il devrait être déféré dans la matinée au parquet. » (Figaro 14/04/10)
Nulle part n'est évidemment mentionnée l'origine ethnique de ces « jeunes » ultra-violents, mais chacun, comme au bon temps de la novlangue soviétique, sait désormais reconnaître le sabir jargonneux des apparatchiks du système et saisir ce qui doit l'être à travers les lignes.
Bon, je ne vais pas remettre une couche sur la lâcheté stratosphérique de ces ordures encapuchées rebaptisées « chances pour la France » par d'autres ordures en cravates. Très forts et très violents en meute, ce sont des minables geignards quand ils sont seuls. L'atavisme sans doute.
Mais les pires sont ceux qui essayent de nous faire croire que ce lumpen-prolétariat africain est « discriminé », « stigmatisé », l'objet d'un « racisme » de la part de populations autochtones ontologiquement racistes (l'Européen est raciste et dominant, l'Autre, victime et dominé par essence ). Comme si ces populations allogènes n'étaient pas scolarisées, soignées, transportées, logées et arrosées à jet continu de minima sociaux tous azimuts depuis toujours. Comme si nos politiciens ne déversaient pas, chaque année, des milliards d'euros, en pure perte, sur ces quartiers occupés autrefois paisibles et habités par des hommes et des femmes d'une autre nature.
Le malheur est que ça n'est que le début (vu les flux migratoires actuels et les indices de natalité respectifs), que nos dirigeants, entravés par ces quelques mythes incapacitants (j'entendais Villepin pérorer tantôt avec Abd al malik sur Radio-Paris, c'était réconfortant de connerie bien-pensante et de langue de bois pseudo-antiraciste) ne feront jamais rien pour régler ce problème sinon pour organiser de façon « festive » et « équitable » un séparatisme ethnico-religieux qui permettra à notre douce capitale et à ses belles provinces de ressembler bientôt à Johannesburg ou à Sarajevo.
L'avenir est donc bien rose.