Après un petit marathon ces derniers temps, avec l’impression d’avoir une tête très embrouillée et d’écrire n’importe quoi, voici revenu la cadence normale (c’est-à-dire très lente et paresseuse comme j’aime).
Il fallait finir une traduction et ainsi permettre au film de s’envoler pour un festival. Il a fallu pour cela, faute de temps, faire des infidélités à un autre festival : oui, j’ai raté une excellente édition de Deauvilleasia, paraît-il… d’après les Cinémasiens et les Mad et les Sancho. Mais le cadeau qui m’attendait, était à la hauteur :
Allez boire un coup et grignotez un brin, juste le temps de patienter pour la suite…
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