Suite à mon post sur le besoin de se faire corriger par des correcteurs, professionnels si possible, une volée de protestation me parvient.
Un tel émoi n’est pas justifié !
Cet article, destiné aux auteurs envoyant des manuscrits, souvent plein de fautes de tous genres ; jusqu’à grever leurs chance d’être seulement lus en comité de lecture ; ne visait nullement à promouvoir tel ou tel correcteur de mes connaissances : c’est pour cela qu je n’en cite aucun !
En effet, si le métier de correcteur existe réellement, les tarifs sont très différents, tout comme l’est aussi la formation desdits vérificateurs. Il existeplusieurs formations professionnelles pour cet emploi :
-La formation aux métiers de l’édition,
-La formation d’écrivain public,
-khâgne et Hypokhâgne,
-Les études de lettres classiques et modernes,
-Les études de secrétariat,
-Je ne négligerai pas les autodidactes géniaux de l’orthographe…
-…
Bien des formations pour un travail qui diffère souvent selon les cas, les éditeurs, les demandes des particuliers, les auteurs, la qualité de ce qu’il y a à faire ; un seul métier pour bien des fonctions, donc des tarifs totalement différents ; bien que généralement justifiés.
Il n’est pas de mon ressort ni de mon goût, de constituer unannuaire de la profession, qui de toute façon serait incomplet ; car ce n’est pas ma responsabilité.
Je ne peux non plus mettre en avant tel ou tel correcteur, sans m’attirer les foudres de guerre de ses autres confrères, également de mes relations et, pour qui je n’en aurais pas fait autant.
Que ceux qui s’en sont sentis quelque peu floués, oubliés m’en pardonnent ; mon intervention était d’ordre général et, ne pouvait donc prendre en compte les intérêts particuliers.