L'histoire d'un Dj hors normeAvec des sons bien à lui, Benjamin Franklin a su faire l’unanimité partout dans le monde où ses doigts se sont posés sur les platines Baigné depuis sa plus tendre enfance dans l’univers musical, Benjamin Franklin côtoie très vite le monde la nuit. Il est alors organisateur de soirées pour les Bains Douches, le Niel’s, le Times, le Durand Dupont, la Locomotive et le Bash où il a sa résidence en tant qu organisateur toute l’année 1997. Mais c’est en l’an 2000 que la carrière de Benjamin Franklin prend son envol. Sa rencontre avec Carlos Campos va être déterminante et va le propulser littéralement sur le devant de la scène. Par son biais, il devient le résident du très prisé B*Fly sur les Champs Elysées durant trois années (2001 / 2004). Ses talents de DJ sont alors immédiatement reconnus. De son association avec Carlos Campos vont naître des productions, dont son premier morceau présent sur les compilations Joia et Barrio Latino 3. Il réalise également deux morceaux pour la compilation Barrio Latino Paris. Après tous ces succès rencontrés au sein du groupe George V Records, Benjamin Franklin fonde son studio d’enregistrement, créé son propre label Supersound Records et sort en 2004 le remix de Cee Cee Peninston, le pharaonique « Finally ». A l’heure actuelle, une pléthore de DJs ont rejoint le label Supersound records : Djed (B*Fly), Carlos Campos (Barrio Latino), Wesley Smith (Renoma Café), Miguel (Régine) et d’autres encore. Tous occupent des résidences au sein de lieux prestigieux et tendances de la capitale allant du Triangle d’or du 8ème à la Bastille. L’ascension de Benjamin Franklin est si fulgurante qu’il est contacté pour realiser les compilations pour le Sea Lounge de la Principauté de Monaco, tout comme il s’applique à créer personnellement les play-lists des boutiques Etam, Naf Naf, Made in Sport etc… pour la société mood media. De plus au fil de ses rencontres, il prend de plus en plus d’assurance et s’occupe lui-même de ses booking. Sa musique house / latin house / percu et house electro le conduit à mixer aux quatre coins du monde : « l’Opium » à Kiev (Ukraine), « le China White » (Londres), « le Café d’Anvers » (Belgique), « le Dehor (Italie), Cancun, Roumanie, Thaïlande, Norvège, Caraïbes (Guadeloupe et Saint Barthélemy), Chicago, Bali, Miami… et aux côtés des plus grands tels Carl Cox lors de la clôture de la Winter Music Conference de Miami en 2005, DJ Pédro (Miami), MC Adrian (FG DJ Radio Paris), Greg Di Mano (FG DJ Radio Paris), Robbie Rivera ainsi que les producteurs canadiens les Eyezcream. Benjamin Franklin a su adapter sa musique au gré des soirées et des publics éclectiques. C’est pourquoi, il est un DJ respecté et apprécié de tous qui mixe tant pour les événements privés de Camilla Al Fayed et de Paris Hilton à Londres, que dans des lieux où la musique électronique est reine et très pointue tels le Madeleine Plaza à Paris, Ibiza , Miami ou Tel Aviv.
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