C’est comme si
La longue plongée dans le silence
Me lavait, me purifiait,
Effaçant sur moi
Les taches que font
Les heures sans intérêt,
Ces heures vides
Où pour tenir on cherche
A quoi s’accrocher,
Où parfois la fatigue
Oblige à s’arrêter.
(Guillevic)