la machine à perdre est-elle en route ?

Publié le 11 avril 2010 par Marx


 
  Un technocrate du système qui impose des cures d’austérité aux pays en difficulté.   Une madone blanche qu’un coup de soleil chilien lui fit croire qu’un jour, elle pourrait accéder à une fonction suprême et passe son temps à organiser  des coups de  « com » .
     Des sicaires qui ont adhéré par pur opportunisme et ne rêvent que de démolir au bulldozer la « vieille maison ». Enfin, quelques centristes mous qui n’ont comme les autres à l’esprit que d’augmenter la durée des retraites. Les futurs participants de la  prochaine télé réalité politique risquent bien de décevoir les électeurs...
Il semble qu’ils  n‘ont rien appris, ni rien compris des leçons de la crise actuelle…
Au contraire, ils préfèrent s’entêter dans une logique qui a  déjà creusée la tombe de la gauche dans d’autres pays européens.
La gauche peut par rejet du sarkozisme l’emporter , mais s’entêter dans une voix néolibérale aura des conséquences graves à plus long terme. C’est ce que nous a montré l’exemple italien.  Une « gauche » très libérale et une gauche radicale s’opposent. l’une à une ligne politique suicidaire, l’autre n’en profite pas, les électeurs préférant l’abstention.
Que ce soit dans l’acceptation pure ou la volonté d’accompagnement du néolibéralisme,  le PS socialiste est devenu tellement pluriel dans ses lignes qu’il est désormais un géant au pieds d’argile.