Chuck

Publié le 11 avril 2010 par Flow

Chuck. (crée par Josh Schwartz.)

Reboot et intersect 2.0.

Saison 3.

  



Episode 12: Chuck versus the american hero.

Episode 13: Chuck versus the other guy.

Ces deux épisodes de la série, très sympathiques une fois de plus, concluent l'arc narratif de ces treize épisodes.

Le premier épisode met en place "le final". Sarah et Chuck se rapprochent (encore!) car elle sait qu'il n'a pas tué la taupe. Il reste et restera le même. Le gars sympa, prêt à laisser passer sa chance pour sauver son concurrent... La mission consiste à sauver Shaw, qui s'est sacrifié afin de localiser le QG de l'alliance. Côté humour, on a la mission de Devon, Casey et Morgan: reconquête de Sarah. Elle se termine en prison. Très drôle. Au final, la révélation, évidente mais peu facile à deviner apparaît afin de lancer le final. La femme de Shaw a été tuée par...Sarah! Et il se trouve qu'elle part avec lui...

Le deuxième épisode a donc des allures de fin de saison, voir de série. Le directeur de l'alliance est capturé. J'en profite pour pointer du doigt un des défauts principaux de cette mini saison. Cet ennemi est toujours chimérique et si peu attrayant qu'on s'en détourne totalement. Ce qui joue sur notre implication dans la série. Sinon, Casey est réintégré et Shaw fait la girouette. Gentil, méchant, gentil... Au final, à Paris, Chuck est forcé de le tuer pour sauver l'amour de sa vie. On aurait donc cru que sachant cela, cette dernière ne voudrait pas roucouler mais il n'en est rien. C'est pour cela que l'épisode fait fin de série. D'autant plus, avec la parodie de James Bond. Il sera intéressant de voir comment le couple va évoluer.


 

Au final, cet arc narratif (qui devait être la saison 3 au début) était de bonne qualité. Le dosage action/humour/romance fonctionnait bien (même si le dernier commençait à patiner), on a eu droit à une bonne évolution pour Chuck et on prend toujours autant de plaisir à suivre cette petite série sans prise de tête. Seulement, l'alliance n'était pas à la hauteur et la formule commence par moments à montrer des signes d'essoufflement. La suite sera cruciale.