Malheurs mongols

Publié le 11 avril 2010 par Christophefaurie
Bitter tollLes aléas climatiques déciment le cheptel mongol, et réduisent les hommes à la famine. Bouleversement post communiste :
La privatisation a signifié le démembrement des grandes coopératives et les propriétaires de troupeaux regrettent maintenant quelques uns des bénéfices d’échelle sous-estimés – sans parler, dans de nombreux cas, de l’accès au savoir-faire technique et de gestion du type qui facilitaient l’exploitation pendant les hivers difficiles.
Pas de regret. Le communisme maintenait de toute manière un équilibre contre nature.
En tout cas, comme les réformes russes, ce changement a été particulièrement mal mené.