La princesse, de l’art du 21e siècle. Une forme d’art qui trouve sa raison d’être parmi les gens; une forme d’art qui fait vivre une expérience nouvelle aux gens qui l’entoure.
La Princesse, une production artistique conçue et exploitée par l’entreprise française en art de la performance, La Machine. La Princesse est une araignée mécanique de 50 pieds. Elle est présentée au public dans de défilés, en performance théâtrale ou sous forme d’exposition conventionnelle. La Princesse est une machine de divertissement à générer de revenus pour permettre à sa préservation que plusieurs artistes n’ont pas su comment faire pour faire vivre leur art et vivre de leur art.
L’art de ce siècle qui débute se manifeste comme étant des plateformes multidisciplinaires, d’amalgame d’expériences humaines et de montage financier: de l’argent, du plaisir et des gens qui font notre monde. L’art évolue. C’est aux artistes de s’adapter. Sinon, point d’art nouveau, que de prolongements du connu: visionnaire ou académicien. Un choix à faire. Un prix à payer.
La Princesse, un art qui vit au présent. Mais a-t-elle un avenir? Notre monde s’intéresse-t-il à son avenir? Vous diriez probablement, mais qu’est-ce l’avenir? Le temps, l’espoir, l’inquiétude? L’avenir, est-ce demain, après-demain, le mois prochain, l’an prochain, une génération, une vie…
Bon, une chose est certaine, le merveilleux vit, émeut et perpétue. Les histoires de princesse, on aime ça! Youpi!