Retenu de la keynote Apple de 2010 sur iPad

Lors de la présentation de l’iPad le 27 janvier 2010, j’ai pris des notes en direct sur mon Profil Facebook. J’ai fait dans la foulée un billet sur mon blog, à chaud.
Plus de deux mois plus tard, j’en extrais ce qui me parait essentiel dans la nouvelle tablette d’Apple, sortie aux Etats-Unis la semaine dernière, le 3 avril 2010.

J’avais déjà publié mon premier roman de jeunesse Aquamarine 67 sur la plate-forme digitale d’Amazon au cours du mois de janvier, dès qu’elle s’était ouverte aux autres langues que l’anglais. J’avais eu l’impression de revenir aux débuts du web et il n’y avait pas encore d’application pour lire les eBooks sur les Macs, ce qui était particulièrement frustrant.

iPhone et iPad OS 4 Keynote

********
Good for games :

N’étant pas joueuse moi-même, je passe sur l’ouverture de l’iPad aux jeux vidéos même si mon jeune gendre Kevin m’avait dit un mois plus tôt : « Je ne serai jamais sur Mac parce que je suis joueur ! » Tac !!!

La taille A4 format cahier :

La taille m’a semblé intéressante, plus lisible que le Kindle d’Amazon ou l’eReader de Sony. Le poids, 750 g, m’a paru gérable pour lire dans mon lit, car c’est quand même allongée que je préfère lire, grande paresseuse que je suis, fière de l’être, les paresseux font souvent de grandes oeuvres comme Montaigne ou Proust, mes modèles, sans doute parce qu’ils s’organisent mieux que les autres, qui courent partout sans aller nulle part.

Liseuse pour eBooks :

L’équivalent du Kindle mais plus grand, en couleur, avec le choix non seulement de la taille des polices mais du changement des polices.

Apple a choisi le format ePub, open source, qui est très simple à utiliser et permet les illustrations sans problème.

L’iBookstore :

La possibilité d’embarquer toute une bibliothèque comme on a embarqué nos discothèques dans nos iMacs et nos MacBooks.

Mes visions à ce moment-là :

J’ai tout de suite imaginé cette tablette :
- dans les mains de mon petit-fils de 4 ans et demi, dans celles de tous les enfants du monde pour éviter les cartables de torture qui donnent des scolioses,
- dans les mains de mes vieilles amies qui commencent à avoir du mal avec la gestion de leur propre mémoire.

J’ai imaginé de l’emporter en voyage dans mes bagages que je souhaite de plus en plus légers, pour gérer mes photos prises dans les Musées dans ma galerie Flickr, télécharger des vidéos et actualiser mes blogs en direct.

J’ai imaginé qu’il faudrait prévoir dans les manteaux ou les vestes une poche intérieure pour mettre l’iPad.

Le prix attendu par rapport au prix du Kindle :

J’ai d’abord cru que ça allait coûter une fortune, genre 1000 dollars US, soit 1000 euros pour nous, le dollar Apple valant un euro européen (!). J’avais étudié les liseuses notamment celles d’Amazon, et le Kindle DX valait 489 USD, sans les possibilités que je voyais exposées par Steve Jobs et son équipe sur la scène de San Francisco. Le Kindle DX est en noir et blanc, plus petit que l’iPad, ne permet pas de faire d’email, ne va sur internet que pour télécharger les eBooks achetés sur Amazon.

Quand j’ai entendu le prix, à partir de 499 USD, j’ai été époustouflée, mon étalon ayant été le Kindle DX à 489 USD, 10 dollars de plus, j’ai su que je l’aurai relativement vite !!!

Publication d’eBooks :

J’ai su aussi d’évidence que je publierai sur ce support tous mes cahiers en cours de saisie « macuscrite ». Qu’avant la sortie de l’ipad, prévue deux mois plus tard, j’aurais trouvé le moyen d’y être.

Pari tenu.

A bientôt pour la suite des aventures de publication électronique sur l’iPad. Gaelle

Articles similaires :