- le maintien au sein de l'AP-HP des hôpitaux Joffre-Dupuytren, Georges Clémenceau, et Paul Doumer,
- le maintien de la capacité globale de lits de SLD de l'AP-HP,
- le maintien des capacités de SSR de Clémenceau et Dupuytren,
- le maintien des projets de bâtiments Pollux et Castor pour le transfert à Dupuytren de 240 lits de SLD de Joffre,
- la révision des modalités d'ouvertures de lits de SSR spécialisés incluant une participation des spécialités concernées et non plus par ponction sur les lits de gériatrie,
- la révision des modalités d'ouvertures de lits de gériatrie de l'Hôpital Rothschild sans prélèvement sur les lits d'hôpitaux périphériques.
Un point pas très clair cependant, à qui n'est pas dans le secret des Dieux, concernant le réexamen "approfondi" du projet médical de l'Hôpital Charles Foix.
Par ailleurs, l'ambiance semble être à une orientation des économies d'emplois sur les fonctions support. A priori, pas plus bête qu'autre chose, en particulier qu'une diminution des effectifs soignants au lit du patient.
Mais du coup, on voit se dessiner progressivement l'hôpital de demain, oubliant le vieux modèle du "tout service compris" proche de l'autarcie, et se dirigeant vers un service soignant exclusif soutenu par une série de prestataires extérieurs. Juste pour fixer les images, imaginons pêle-mêle une liste des domaines d'action de ces prestataires possibles :
- ménage,
- entretien,
- jardins,
- restauration des patients,
- restauration du personnel,
- lingerie,
- service informatique,
- médecine du travail,
- transports,
- sécurité,
- télévision, téléphone,
- magasins divers (journaux, souvenirs, articles de toilette, vêtements, pompes funèbres, loueurs de matériel médical, ...)
- chambre mortuaire,
- comptabilité,
- communication,
- matériel médical,
- matériel non médical,
- gestion de salles, de réunions,
- ...
Evidemment, rien ou presque de tout cela n'est décidé, ni même entièrement imaginé. Mais il suffira de peu d'efforts pour permettre aux imaginations les plus intrépides de se mettre à la tâche.