Quand le cœur s’arrête
et que l’esprit cesse d’exister
Quand les douleurs s’apprêtent
A hanter une vie, à l’accabler
Telle une victime de guerre
Oubliée sur le champ de bataille
Charogne couverte de terre
Désintégrée jusqu’aux entrailles
Je ne ressens plus la souffrance
Elle m’a quitté à jamais
Me laissant l’étrange nuance :
Haïr pour avoir aimé
Douleur tu me manqueras !
Tu me rappelles des fragrances familières
Celles qui furent longtemps pour moi
Mon choix erroné, mon être cher