« Nous commençons d’une certaine manière, puisque la BD a déjà trouvé sa place. Pour le dernier Astérix et Obélix, zaOza a donné la possibilité de découvrir en exclusivité des extraits la veille de sa sortie. » (Mais si, souvenez-vous. Cela n'enlève rien au fait que la BD soit une sombre merde, mais l'initiative était là)
« Ce n'est plus qu'une question de semaines avant qu'une offre BD n'arrive chez zaOza. Nous avions commencé avec les éditions Albert René [NdR : donc Hachette à 40 %], et nous avons pris contact avec les autres acteurs de la BD pour développer notre offre. » Des noms ? Il n'y en aura pas d'autres que ceux connus, Albert René et Soleil. Dommage. « Les négociations sont toujours en cours, mais cela n'est plus qu'une question de semaines, vraiment. »
Ah ? Et pour les livres numériques, on peut s'attendre à ce que... « Oui, de la même manière nous sommes en contact avec des éditeurs de livres. Je souhaite définitivement que l'offre de zaOza soit plus riche et s'ouvre aux livres numériques. »
Après la France, zaOza s'est lancé en Allemagne, où l'offre de livres audio est bien plus importante et rencontre beaucoup plus de succès qu'en France. « Chaque marché a des spécificités de ce point de vue. Nous développerons plus les audiobooks pour l'Allemagne que pour la France, c'est évident. »
Enfin, précisons que zaOza va prochainement proposer une offre en partenariat avec Casino, se présentant sous la forme de cartes prépayées, à partir desquelles ont pourra accéder au service zaOza (voir photo).