La complexité de la situation vient avant tout de ce que les deux acteurs ont des intérêts qui divergent dans cette histoire.
D'un côté, Carrefour ne veut pas céder sur toute la ligne face à Apple, bien que l'on retrouve les baladeurs iPod depuis un bon moment maintenant. Et en l'occurrence, le prix de l'iPad en France pourrait poser un petit, tout petit problème.
En face, on a évidemment la machine Apple qui souhaite conserver au maximum la maîtrise de son nouveau joujou, mais souhaite également que le distributeur lui passe une commande fixe, que ce soit pour l'objet ou les accessoires...
Pas si simple.
Et impossible d'avoir une personne de chez Carrefour pour nous en dire plus...