Les éditeurs qui survivront à ce qui s’annonce comme une transition périlleuse seront ceux dont les patrons et les employés peuvent apprendre vite à penser comme des impresarios multimédias plutôt que comme des fournisseurs de prose parfaite.Pas tout à fait d’accord. Comme pour la presse, je crois que les survivants de l’édition auront redécouvert l’essence de leur métier. Et ce métier, s’il n’est pas le papier, c’est la qualité du contenu. En quelque sorte, c’est la « prose parfaite ». C'est aussi la promotion de cette prose.
Et c'est justement ce que certains (http://www.tor.com/) semblent avoir compris : ils utilisent le web social pour créer des communautés de passionnés.
Compléments
- L’article : E-publish or perish. Les techniques qui s’appliquent aux environnements incertains : Se diriger dans l’incertain.
- Les libraires, sont eux aussi dans une mauvaise posture. En plus des supports électroniques, ils doivent affronter Amazon (qui aurait saisi 19% du marché américain) et ses concurrents. Le salut serait dans l’offre de nouveaux services (exemple d’un centre de vacances littéraire). Edited out.