Weng Tojirakarn, un des chefs des chemises rouges, a déclaré qu’Arisman Pongruangrong, un autre responsable du mouvement d’opposition, n’aurait pas du pousser les manifestants à envahir le Parlement ce mercredi (7 avril 2010) après-midi.
Weng Tojirakarn a assuré que cette action s’était néanmoins déroulée sans violence.
Mais il a dit qu’Arisman Pongruangrong avait pris cette décision de son propre chef, sans avoir préalablement consulté les autres dirigeants du mouvement des chemises rouges et qu’il s’agissait donc là d’une initiative personnelle sans lien aucun avec la politique décisionnaire du groupe.