Quelqu'un voulait parler chiffons.
Ca va pas être possible.
Ma contribution en la matière cette année :
Tiens, tiens, ce ne serait pas un vieux manteau Monoprix ? Ma monomanie n'a pas lâché prise.
La vieille étudiante se plie aux exigences de la vie de bureau. J'ai trouvé 5 secondes, un soir, pour trouver un machin léopard. C'est tout.
Un sprint au Zara des Champs Elysées entre midi et une ? Possible, mais ça se minute.
Le soir ? J'ai un petit chien qui contient à grand peine sa vessie. Et partir avant 18h demande une certaine force morale : sans se justifier, suggérer implicitement que l'on n'a pas le choix.
Le samedi : mince, pas de cabines d'essayage chez Carrefour. Je n'ai plus d'Etam à portée de main. Or, prévoir un déplacement ce jour-là m'est pénible. La veille à 21h, il n'est pas rare que je sois encore coincée à Orly.
Le dimanche : c'est le même problème qu'avec les petits épiciers. Ouvert dans le Marais mais trop cher.
(un dimanche dépitée devant le COS de la rue des Rosiers, fermé)J'ai pas mis les pieds dans un magasin depuis plusieurs mois. La dernière fois que je m'en suis approché, c'était un Halle aux vêtements dans la galerie commerçante de Schoelcher, banlieue de Fort de France.
Je préfère recycler.
J'ai une fenêtre d'opportunité demain. La rue commerçante de Beauvais.
Thank you la grève : 2 petits RDV là-bas, mais si je veux les honorer, départ 7h41 / retour 19h14. Enfin du temps à perdre !
Je serais vous, je ne me moquerais pas.