Crédit photo : Heather Cate
Je vous avais parlé ici du petit coup de cœur de fin d’année que j’avais eu pour les Californiens de Letting Up Despite Great Faults et leur premier album autoproduit. Pour tout vous dire, c’est la pochette de leur album qui m’avait séduite au départ, je trouvais cette photo vraiment belle, incongrue mais belle. C’est ensuite avec leur musique que ces Américains ont fait vibrer la fibre shoegaze/mid tempo qui sommeille en moi. J’avais évoqué à l’époque de mon billet leur filiation évidente avec la clique Sarah records (The Field Mice en tête), Slowdive ou The Postal Service mais j’aurais tout aussi bien pu parler de M83, Galaxie 500 ou plus près de nous de The Pains of Being Pure at Heart avec qui ils partagent les mêmes influences. Leur musique agit comme un bain de jouvence sur mes oreilles, peut être à cause de la candeur adolescente qui s’en dégage. Ca ne révolutionnera pas l’histoire de la musique mais ça aura bien égayé mon quotidien cet hiver et c’est déjà beaucoup.