J’ai battu cette année un record personnel en me rendant trois fois Porte de Versailles pendant le Salon (2 en 2009).
Je n’ai pas trouvé que le cru 2010 était exceptionnel. Le Salon durait certes une journée de plus, mais je n’ai pas véritablement senti l’effusion que j’imaginais à l’occasion du trentième anniversaire de la manifestation.
Et comme beaucoup, j’ai regretté l’absence des maisons du groupe Hachette, notamment Stock, Lattès, ou encore Grasset - mais je ne vais pas revenir ici sur la polémique dont la presse littéraire s’est déjà largement fait l’écho.
Ce qui compte, c’est que j’y ai fait de belles rencontres.
A commencer bien sûr par l’après-midi du vendredi, où ces rencontres étaient organisées par ELLE, ce qui n’a en rien empêché la spontanéité et la sincérité des échanges.
Mais de belles rencontres, j’en ai fait aussi avant et après, à l’occasion de l’inauguration (le jeudi soir) puis de la nocturne du mardi.
J’ai croisé, pêle-mêle, des romanciers (Serge Joncour, Hugo Boris, Catherine Neykov, Katherine Pancol…), quelques personnalités venus signer leur dernier livre (Dominique de Villepin, Patrick Poivre d’Arvor…), des éditeurs, et même un intermédiaire de premier rang pour ma prochaine interview qui sera celle de Carl Aderhold.
Et je suis, comme d’habitude, repartie chargée de livres, avec cette fois-ci, en prime, quelques adresses mail…