A entendre cracher les infâmes prônes
A cribler de mensonges les petits crânes
Le corbeau s’est perché sur le trône
De l’ inéluctable ancien profane
Les malheurs ne furent point présage
Et ce fut alors l’aire ténèbre
Condamnant les pensées des sages
A suivre le convoi funèbre
Crie haut et fort la laideur de ton visage
Crie haut et fort et écris ton ouvrage
Dis au monde que tu n’existes plus
vole aussi loin des catins corrompus
Ne pleure pas ta faiblesse
Ton impuissance est impériale
Réjouis tes sordides prouesses
A la lecture de ce mémorial