Il existe déjà une forme de réglementation limitant les représentations dites à « caractère sexuel » dans les mangas et les animés pour la préfecture de Tokyo. Aujourd'hui c'est au tour de la préfecture d'Osaka de s'interroger sur la protection des enfants.
Ce 25 mars, le gouverneur Tôru Hashimoto à Osaka a déclaré qu'il étudiait plusieurs documents pour déterminer l'ampleur du phénomène. Faut-il dans ce cas adopter des mesures similaires et restreindre la vente de cesdits textes aux mineurs ?
Cette étude porte surtout sur les mangas et magasine de type Josei, Yaoi et sur quelques Shôjô. Elle cherche à analyser et à restreindre la pornographie juvénile au travers des téléchargements et sites de diffusion online. En parallèle, il s'agit également de limiter la représentation de jeunes personnes dans des situations coquines ou à caractère sexuel.
Ainsi, conformément à cette décision une liste déjà existante a été maintenue par la préfecture. Elle contient une série de titres (dont quelques Shôjô) potentiellement dangereux pour les jeunes et qui pourraient donc être interdits la vente pour les moins de 18 ans.