Damas, Syrie.
En lisant un peu sur Damas, vous tomberez certainement sur la légende qui dit que le prophète Muhammad arrêta sa route pour ne pas entre à Damas, disant qu’un homme ne devrait entrer qu’une seule fois au paradis – à sa mort.
J’ignore comment était la cité à cette époque, mais je dois admettre que le vieux Damas est aujourd’hui très agréable. À l’ombre des ses souks couverts et de l’imposante mosquée Umayyad, des dizaines de ruelles demandent à êtres parcourus pour les plus badauds d’entre-nous.
Je vous présente aujourd’hui, en photo, la vie dans ces allées.
Quand circuler en voiture est l’enfer ou impossible, on transporte la marchandise à bras ou au diable.
Si le mot d’ordre en Syrie est de souhaiter la bienvenue, ce meilleur ami de l’homme ne la toujours pas compris en m’attaquant après l’avoir pris en photo.
Une partie de football s’improvise parmi les passants.
Pour trouver son chemin, il suffit de suivre les lignes.
Un enfant transportant un sac de pain pita, une priorité culinaire non seulement en Syrie, mais partout au Moyen-Orient.
Environ 16% de la population syrienne est chrétienne.
Aux abords de la mosquée, à l’appel de la prière, le soleil descend et annonce la fin d’une autre journée.
-Will