Alors que l'an passé, quand l'appli B&N pour iPhone est sortie, plus de 400.000 téléchargements ont eu cours dans une brève période se rappelle l'agent Lynch. Et évidemment, cela fait une belle somme.
Et comme le modèle d'agence s'impose, même chez ceux qui n'en veulent pas, B&N va pouvoir reprendre des relations cordiales avec les éditeurs, tout en maintenant une offre de qualité. Car le plus intéressant, somme toute, c'est bien de pouvoir profiter des atouts de l'offre spécifique de B&N.
Ainsi, pourra-t-on échanger et prêter ses ebooks, de la même manière que l'on peut le faire avec le Nook ? A priori, aucune raison que cela ne soit pas le cas. De même, doit-on redouter un désintérêt des consommateurs alors que les tarifs ont été revus à la hausse, passant ainsi à 3 voire 5 $ de plus que le tarif de 9,99 $.
Selon William, aucun risque. La plupart des retours d'utilisateurs feraient état de la commodité de lecture et du format, comme principaux éléments de séduction du livre numérique. « Certes le prix a été un catalyseur pour certains », reconnaît-il, mais dans tous les cas, cela ne ralentira pas la croissance des ventes d'ebooks.
Les premiers résultats semblent plutôt plaider en faveur de cette hypothèse, avec les 250.000 ebooks vendus sur la seule journée de samedi...