Le capitaine bordelais a bien compris les difficultés actuelles de son équipe qui à l’heure d’aborder le sprint du printemps ne gagne plus : « On est trop fragiles, trop fébriles, et on peut perdre contre n’importe qui. C’est facile à dire, mais maintenant, il faut des actes. Cela passe par une remise en question individuelle, car on ne joue pas comme une équipe championne de France. C’est la première fois que l’on perd trois fois d’affilée et ça commence à faire beaucoup. On n’est pas assez costauds».
Diarra est meilleur dans l’analyse que sur le terrain en fait.
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