Il m’étouffe je suis entré dans ce
Silence entrée désespérée dans cet
Amour dans l’effroi qu’il puisse si vite
Mourir terreur torturante de perdre
Cet amour dans ce silence et plus rien
Ne me distrait de vous plus rien qu’écrire
Mon amour prononcer mon amour dans
Le blanc silencieux de cette lettre
Ne pas sortir du silence jamais
De toute ma vie rien à quoi je puisse
Tant tenir « même si vous ne devez
Plus jamais reprendre ma main dans la
Vôtre ».
(Claude Adelen)