L’histoire est la même partout. Celle-ci se passe en France.
L’humoriste se fait un politicien. (Ici Stéphane Guillon sur un ministre Éric Besson)
Le politicien ne le prend pas et réplique.
L’humoriste réplique évidemment.
La machine média s’emballe et pose la question des limites de l’humour.
Le résultat agite Paris et montre encore une fois l’irritation de plus en plus vive des puissants face à l’insolence des bouffons.
Décidément un humoriste qui ne fait pas scandale mérite t-il son titre?