Frédéric L., de Paris : Pensez-vous que la diffusion d'un cha cha cha rock'n'roll avant chaque allocution de notre seigneur et maître, j'ai nommé notre grand et vénéré leader, Nicolas S., pourrait faire remonter sa côte de popularité ?
Les playlisters : Bien évidemment. Mais l'idéal serait qu'il se présente devant le peuple en maillot de bain et bouée-canard, tout en esquissant quelques entrechats sur les cha cha cha rock'n'roll. Il devrait dans ces conditions atteindre assez rapidement les 89,16% d'opinions favorables.
Stéphane G., de Paris : J'ai quelques problèmes avec mon DRH depuis que j'ai traité un de nos cadres sup de "tête de fouine"? Pensez-vous que je pourrais éviter un licenciement si je leur offrais un cha cha cha rock'n'roll de réconciliation à chacun ?
Les playlisters : Malheureux ! Surtout pas ! Offrez-leur plutôt un bon verre de mort-aux-rats ! Gaspiller un cha cha cha rock'n'roll pour ça serait impardonnable !
Albert E., de Wurtemberg : Je me suis aperçu qu'il était possible d'écouter environ 6 cha cha cha rock'n'roll en une heure, et que chacun était composé de 4 morceaux en moyenne, ce qui permet d'écouter 24 morceaux par heure, sans compter les interludes ou intermèdes. D'autre part, le son circule à une vitesse moyenne de 1 224 km/h. Qu'est-il possible d'en déduire ?
Les playlisters : Pas grand chose, malheureusement. Mais si vous effectuez 1 224 km à reculons en moins d'une heure en écoutant des cha cha cha rock'n'roll, vous devriez pouvoir prétendre à une place dans le livre des records.
Marie-Madeleine P., de Biarritz : Les enfants, quand vous aurez fini de vous amuser avec l'ordinateur de Papy, vous viendrez me voir, j'ai préparé un gâteau à la cerise, et il y a du cidre au réfrigérateur !
Les playlisters : On fait clic clic sur le triangle, et on arrive !!! Youpi !!! Ah, et si quelqu'un veut emporter ce cha cha cha rock'n'roll avec lui, il suffit de faire clic clic sur la pochette !!!
Quand le gâteau sera digéré, nous reviendrons éditer le billet pour vous dire ce que vous avez écouté. Peut-être. On verra. Bises !