Assez rapidement, nous arrivons sur le port ostréicole d’Arès (repère 3), moins touristique et moins « carte postale » que celui d’Andernos, même si les cahutes sont dans le même style :
Nous poursuivons sur un chemin plus sableux, en ayant le Bassin à notre gauche et les réservoirs à poissons sur notre droite (repère 4) :
Ce chemin, légèrement ombragé, ne devrait pas tarder à sentir très bon, les premières fleurs y pointant leurs pétales :
Nous quittons le sentier de sable pour obliquer vers la gauche. Une passerelle, manifestement neuve vues la couleur et l’odeur du pin, enjambe le Courant de Lège (repère 5) :
Nous arrivons alors dans une zone herbeuse et humide, dont il faut se méfier à marée montante ; c’était le cas, nous avons donc fait assez vite demi-tour, après avoir tout de même jeté un œil sur ces prés salés (repère 6) qui tapissent le fond du bassin jusqu’au lieu-dit Jane de Boy à l’entrée de la presqu’île du Cap Ferret :
Le retour s’est fait par le même chemin. En tout, environ une heure trente à deux heures de balade. A poursuivre à marée descendante, pour justement gambader dans ces prés salés.