Alizée grandit,Elle a gagné en maturité,Fini la lolita.Son album replonge l’auditeur dans le New York des années 60.« Je ne voulais pas d’un album autobiographique, confie Alizée. Le disque s’écoute comme un roman où chaque chanson raconte une histoire. » Un disque dans lequel « une héroïne part se perdre dans les lumières de la ville. »
« Un enfant du siècle » nous renvoie dans l’univers sexy façon Gainsbourg « des années 80 ». « Mon rôle sur ce disque se rapproche un peu ce que faisaient mes premiers producteurs(Mylène Farmer et Laurent Boutonnat) explique la chanteuse.Déterminer une direction, une image. Tout contrôler. » Alizée n’a pas peur de désorienter. son public. « Nelly Furtado, on l’a connue avec un album folk et elle est revenue avec du rap produit par Timbaland », note l’ancienne Lolita. « Il faut toujours avoir le souci de proposer quelque chose de neuf ».
Source: 20 minutes.fr 1er avril 2010