Extrait du site consacré à l'affaire HANSE
Bernard HANSE, un homme d'honneur piétiné par Mme Ségolène Royal
Le suicide de Bernard Hanse, homme d'honneur dans une affaire sordide: l' affaire de montmirail dont l'innocence a été reconnue mais piétinée par Mme Ségolène Royal.
06 mai 2007
Royal ou le summum de la moralité en politique?
-En 1997 Royal ministre déléguée aux affaires scolaires estimait avoir eu de la "chance " d'avoir une affaire de pédophilie dans sa circonscription.vidéo
-Prenant en charge son ministère le 4 juin 1997: elle annonce "éradiquer la pédophilie" dans l'EN, ou dit elle: 10% des pédophiles y seraient nichés !!! En fait le chiffre est de 2.58% et cela pour toute violence confondue. Selon le rapport de l'ODAS (Observatoire national de l'action sociale, à Paris) qui montrait en effet que, sur 65.000 enfants en danger en France au cours de l'année 1995, les auteurs de sévices (violences physiques, abus sexuels, négligences lourdes et cruauté mentale) étaient essentiellement de la proche famille (ODAS, 1996,2001).
Les professionnels, eux (Enseignant, magistrat, médecin, psychologue... ne représentaient que 2,58% de l'ensemble et encore pour violence par forcément à caractère sexuel ; cela peut être une plainte pour une gifle.
Le 10 juin 97 un enseignant Bernard HANSE est convoqué par son chef d'établissement car un élève s'est plaint par l' intermédiaire de ses parents de gestes déplacés de la part de ce prof lorsqu'il était dans les vestiaires.
En fait, cet élève reconnu menteur, fabulateur par ses profs, au dossier psychiatrique lourd, en retard scolaire, voulait se venger d'un prof qui l'avait sorti manu militari et sans violence du vestiaire ou il chahutait sous le regard de ses copains.
Alors qu' il ya un passif lourd pour l'élève, un prof irréprochable, 5 témoins qui ont bien vu qu' il n'yavait aucune équivoque de la part du geste du prof, le chef d'établissement convoque ce 10 juin 1997 en fin de journée pour lui dire qu'il saisit la justice à son encontre pour attouchement contre mineur.
Pourquoi un tel empressement qui ne se justifiait pas d' autant que cet élève n'est même pas un élève de Bernard. Or on sait que ce 10 juin Mme Royal devait ce même jour pour faire le point de la pédophilie,et que ce même 10 juin le principal Mr Pillet est resté pendu à son téléphonne. On peut penser que le sort de Bernard était déjà scellé en haut lieu.
Après l'annonce de cette décision prise par Mr Pillet par l'envoi d' un fax au Procureur de la République, Bernard mettait fin à ces jours.
Le 8/juillet/97 le procureur de la République au vu des éléments d'instruction du dossier mettait le mineur en examen pour dénonciation mensongère.Le mineur s'était rétracté de ses accusations disant :" qu' il avait voulu se venger du prof parce que:" Je n'aime pas qu'on m'embête quand je fais des bêtises".
Enfin les témoins qui ont vu la scène ont été interrogés et ont bien vu qu' ils n' y avait aucune équivoque possible.
Le 9 juillet 1997, le lendemain même, Royal ne respectait pas son obligation de réserve; dans tous les grands médias elle mettait en doute le bien fondé de la décision de justice et faisait fi de tout respect de la présomption d' innocence. Elle faisait pression sur la justice par ses doutes publics et alimentait la machine à rumeur contre Bernard Hanse et sa famille. Mais, plus grave, elle tentait d'alimenter publiquement une thèse selon laquelle, "un enfant ne ment pas". Dont les conséquences ont été dramatiques aussi dans d'autres affaires de mineur, Outreau ayant été la démonstration finale et tragique que l'on paie toujours la bêtise du politique.
Le 17 juillet 1997 : La famille exprime son indignation face à la pression qu'exerce un ministre sur une affaire instruite en justice.
Le 17 juillet au soir : ROYAL envoie un courrier 1 2 à la famille HANSE. Une lettre colportant les ragots mensongers de la famille accusatrice, qui seront tous démentis par l'instruction.
DECISION DE JUSTICE
L'extrait de l'arrêt rendu par la Cour d'appel de Reims.
Le 21 juin 2002 la COUR d'APPEL du Tribunal des mineurs de Reims a rendu son délibéré final qui clôture définitivement cette affaire. (extrait de l'arrêt rendu par la Cour d'Appel de Reims)
« Attendu que c'est à la suite de son expulsion, à l'origine d'un contact physique, peut être mal interprété, entre élève et professeur, que X à l'évidence ulcéré d' être ainsi traité devant ses camarades, a imaginé d'accuser Bernard Hanse de s'être livré à des attouchements dont il a cru pouvoir établir l'existence, en les rapportant mensongèrement à ses condisciples afin que ces derniers puissent ultérieurement corroborer ses dires, ce qu'il se sont refusés de faire; que l'accusation portée contre le professeur apparaît ainsi dépourvue de fondement » .
Pour ses actions:
-Condamnée pour diffamation lorsqu'elle était secrétaire d'état à l'environnement à l'égard de Mr Picard. http://storage.canalblog.com/51/83/212083/12907357.jpg -Condamnée par la justice le 11/04/ 2008. http://www.lefigaro.fr/actualites/2008/04/10/01001-20080410ARTFIG00626-segolene-royal-condamnee-par-la-justice.php
-Pour son action contre un honnête homme: Bernard Hanse dont elle fit tout pour salir sa mémoire lorsqu'elle était secrétaire d'état aux affaires scolaires.
Nous allons tous pouvoir lui accrocher ce 6 mai 2007 sur sa belle veste blanche la palme de l'immoralité en politique.
Pour tous les détails voir le site http://bernardhanse.canalblog.com/archives/2007/05/06/4854626.html#comments "
N.D.L.R
Je rappelle que Mme Royal vient de déposer la marque Fête de la Fraternité, ordre juste (Ordre nouveau était déjà pris) et Université Populaire (Suite au tollé provoqué par cette dernière appropriation elle a renoncé à l’Université populaire, qui effectivement ne méritait pas ça)
Il est possible que Mme Royal connaisse le sens du mot fête mais je doute qu'elle connaisse celui du mot fraternité.
Piétiner un enseignant, comme elle l'a fait, alors qu'elle était secrétaire d'Etat à l'Education, allant jusqu'à provoquer son suicide, affirmer que l'Education nationale est un nid de pédophiles, critiquer ouvertement une décision de justice au mépris de l'obligation de réserve, susciter tous les précédents nécessaires à l'affaire d'Outreau, notamment en affirmant haut et fort que "l'enfant a toujours raison" cela fait beaucoup d'atteintes au concept de fraternité.
Tout le monde peut de tromper, mais quand il s'avère que son erreur a provoqué la mort d'un homme on doit avoir la décence de reconnaitre ses torts. De fait, Mme Royal ignore totalement ce qu'est la fraternité. Elle ne connait que son ambition et, elle l'a très souvent démontré, elle est prête à tout pour cela. Jusqu'à marcher sur, au moins, un cadavre, sans aucun état d'âme.
Sa "nullitude" n'appelle aucune sollicitude.
Adresse Fil Rss http://www.deridet.com/xml/syndication.rss