Là, ma petite, tu vas être obligée de manger ton chapeau : tu ne pourras pas faire autrement que reconnaître tes erreurs et convenir que tu t'es trompée. Une bévue, une maladresse, tout le monde en commet. Encore faut-il avoir l'honnêteté d'en convenir. Pauvre chérie, tu en as bavé des ronds de chapeau, tu t'en es donné du mal, pour faire cet exposé. Ton 18, tu ne l'as pas volé !
- Je te tire mon chapeau, chapeau bas ! Toutes mes félicitations, je suis très admirative.
- Tu as démarré le trimestre sur les chapeaux de roue, à toute vitesse. Pourvu que ça dure !
- Ton oncle, lui, c'est un virage qu'il a pris sur les chapeaux de roue. Un peu trop même. Résultat, il a été dans le décor. Rien à voir avec le théâtre : il a eu un accident.
- On se demande par moments s'il ne travaille pas un peu du chapeau, s'il a vraiment toute sa lucidité et sa conscience. Non, je n'ai pas dit qu'il était fou. Simplement largement inconscient et un peu tête brûlée.
- Mais, "T'occupe pas du chapeau de la gamine", mêle toi de ce qui te regarde, laisse ton frère tranquille, ne te mêle pas de ses affaires !
- Tu n'as jamais entendu cette comptine à l'école maternelle : http://www.teteamodeler.com/musique/chansons/turlututu.mp3 ?
- Un spécial grandes occasions ? Celui que j'ai porté (en rêve) au mariage de Camilla et de Charles le 09/04/05. Presque 5 ans déjà, comme le temps passe ! :
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- Voici ce que j'avais écrit à cette occasion :
- Et oui, c'est à Windsor que vous me retrouvez aujourd'hui ! Je suis invitée. Le plus difficile a été de trouver un chapeau suffisamment fleuri pour la circonstance. Remarquez que, pour ne pas porter ombrage à la mariée, je suis un peu moins belle que d'habitude. Les maquilleurs font des miracles !