Toutefois, il n'exclut pas de « l'adapter et le faire évoluer », comme c'est le cas depuis deux ans, rappelait-il. En effet, « nous allons continuer pour qu'il permette d'évaluer ce socle commun de connaissances et de compétences, nous y travaillons et je pense que les propositions des parlementaires peuvent être utiles ».
Mais pourquoi cet intérêt soudain pour le Brevet ? Parce que Jacques Grosperrin rendra la semaine prochaine son rapport sur l'examen, dans lequel il envisage de « supprimer les épreuves actuelles », explique-t-il à l'AFP - à savoir maths, français et histoire-géo, ainsi qu'éducation civique. À cela s'ajoute une évaluation de vie scolaire, ainsi que l'épreuve d'information et de langue.
À la place, il verrait plutôt une « attestation de maîtrise du socle commun de connaissances et de compétences » ainsi que des « mises en situation ». Dans ce contexte, on évaluerait alors les facultés de l'élève à pouvoir se mettre dans une situation réelle, et ses réactions.
On attend impatiemment la suite.