Un « étudiant journaliste » voulait jouer le héros de préau. Ces héros enfantins et
infantile pour la circonstance du plus fort de la classe, d’une matière qui justement n’est pas enseignée. Le larbinisme. Il allait se faire Jean Luc Mélenchon. La même question, posée
différemment à plusieurs reprises avec toujours plus d’insistance. Tenter de coincer le dirigeant du PG sur la question des maisons clauses. Ce qui finit par agacer par ce qui devient une sorte
de harcèlement et un manque de politesse évident. Un vrai « foutage de gueule ». Il n’y a pas de service d’ordre pour détourner le petit larbin, à qui nous pourrions conseiller de faire la même
chose avec la même question , à un certain Nicolas Sarkozy, celui qui décide de tout, ou à un très grand chef (pas forcément par la taille) de l’UMP. Là il saurait comment on écarte ce que l’on
désigne comme « un petit con », avec quelques torgnolles à la clé et « casse toi pauv con ! » Les torgnolles c’est un militant du PG qui les a reçues, en brandissant une pancarte sur laquelle on
pouvait lire, justement « casse toi pauv con ! ». Nicolas Sarkozy peut se permettre de faire dans le grossier et le grotesque, de lancer à un pêcheur , « viens le dire ici ! » avec une
quarantaine de policiers autour pour le protéger.
Le petit larbin n’a pas réussi son coup, alors il joue les victimes. Ils sont comme ça les larbins et c’est la meilleure chose qu’il ait apprise. En voulant servir, il a pris un revers très vert
et cinglant. Il est tombé pour la cause, qui n’est pas la sienne car maîtres et larbins ne partagent jamais les destinées. On peut être journaliste ou aspirer à le devenir et appartenir
irrémédiablement au « lumpen prolétariat ». Les larbins se sont unis pour dénoncer Mélenchon. Les journalistes, les vrais, ont bien d’autres préoccupations.