Santé et budget financier 2010 des québécois

Publié le 30 mars 2010 par Patriciaturcotte
QUELQUES SITUATIONS DE SANTÉ VÉCUS PAR LES QUÉBÉCOIS, ET FORT HEUREUSEMENT, IL Y A AUSSI DES CAS BIEN PLUS AGRÉABLES DONT JE N'ABORDE À PEU PRÈS PAS DANS CETTE OPINION PERSONNELLE Il y a de quoi de bien pire que d'avoir la chance de se payer, par exemple, deux bouteilles par années de "Griffes du Diable" ou quelques massages chez un massothérapeute, un homéopathe, un naturopathe, etc. La pire de toutes les situations pour un être humain, c'est de ne plus avoir les moyens financiers d'avoir accès à une médecine naturelle qui se combinerait avec la médecine naturelle ou globale. Imaginez-vous combien de citoyens et citoyennes du Québec doivent remettent totalement leurs santé à la médecine traditionnelle; faute de moyens financiers. Quant un être humain qualifié de malade chronique par la médecine traditionnelle, celui-ci se retrouve devant deux possibilités, s'il vit au seuil de la pauvreté financière. Heureusement, il existe pour plusieurs gens, un troisième choix qui devrait être accessible à tous les êtres humains du Québec, comme du monde entier. Une réalité ou un mirage ? PREMIER CAS Désengorger les urgences Soit qu'il endure pendant de nombreuses années et peut-être même toute sa vie, des douleurs souvent intolérables à froid, mais jamais soulagées par certains professionnels de la santé. Je veux dire ici, par quelques fanatiques de la médecine naturelle qui pratiquent pourtant dans la médecine traditionnelle. Parfois, ces pauvres gens prendront les chemins des urgences, alors que de réels diagnostics émis à temps auraient pu les sortir de ces maladies dites chroniques. Les victimes d’erreurs médicales 5 pieds 6 pouces sur terre sont plus dérangeantes que les erreurs médicales 5 pieds 6 pouces sous terre, enterrées avec leurs lourds secrets médicaux; devenus souvent de pesants dossiers administratifs bureaucratiques gouvernementaux et judiciaires. En de rares situations, je l'espère bien, lorsqu’il est trop tard pour tenter de les guérir, on ne prends même pas la peine de s’occuper de soulager les malaises souvent insupportables. Soit que ces patients / clients parviennent à contrôler leurs émotions devant autant de douleurs et que l'on offre une injection de Démérol ou de Morphine, lors de leurs nombreux passages à l’urgence; ce qui qui leur donnera un court répit de quelques heures seulement. Soit qu'on les transfèrent dans le département de l’asile psychiatrique pour soigner leurs petits bobos imaginaires, advenant que ceux-ci arrivent à bien maîtriser leurs émotions renversantes, devant autant de souffrances physiques. Dans les pires situations, on leur dit ouvertement qu’ils focalisent trop sur leurs douleurs physiques et que tout se passe entre leurs deux oreilles. Quel enfer sur la terre ! Plusieurs d'entre eux seront même diagnostiqués dans leurs dossiers médicaux, comme des malades imaginaires et des malades mentaux. Ce douloureux sentier conduit inévitablement, comme tant d’autres misères humaines, au découragement, à la réelle maladie mentale, et hélas, jusqu’aux portes du désespoir et du suicide. Encourageons-nous tous ensemble. Ce n’est qu’une très faible minorité de professionnels de la santé qui laissent des êtres humains pataugés dans ces sentiers d’enfer. SECOND CAS La douleur chronique "qui rend fou" L'autre possibilité est de recevoir les médicaments traditionnels chimiques qui soulageront enfin les malaises chroniques endurés par des milliers de Québécois, enfin libérés des douleurs chroniques "qui rendent fous". Mais combien peut-être grande leurs souffrances physiques qui ne pourront jamais être soulagées en totalité, ajoutées aux souffrances morales; sachant qu'en complément de médecines et de remèdes naturels, ceux-ci verraient s’améliorer leurs qualités de vie ? Retrouver une dignité humaine en combinant les médecines existantes, autant traditionnelles que naturelles…pourquoi pas dès maintenant, plutôt que trop tard ? Appeler le plombier, dites-vous ! Prendre un dérivé de morphine soulagent réellement et permet d'avoir l'air de fonctionner normalement dans son simple quotidien et devant les proches et amis. Peu d'entre eux voient la réalité au quotidien causée par les effets secondaires indescriptibles. À mon avis personnel, cette seconde situation est encore mieux que le premier cas cité plus-haut. Ne serait-ce que pour permettent à ces êtres humains de ne plus passer ou de devenir des personnes souffrant de maladies mentales. Combien savent que ces gens doivent avoir auprès d'eux, un super bon plombier ou des trucs qui relèvent du système "D"....et pourquoi ? Le système Débrouillardise Plutôt que de jouer à l'autruche, tentez de discuter délicatement dans un cœur à cœur, avec des personnes qui en ont bouchées des toilettes de loyers, de maisons, d'hôpitaux, de CHSLD de longues durées ou de Résidences de soins palliatifs, avant de découvrir pleins de trucs originaux, souvent dégradants et vécus solitairement, pour régler eux-mêmes ce problème de plomberie. Vous en resterez le souffle coupé, c’est certain ! Fort heureusement, il existe encore d’excellents professionnels de la santé et on ne doit jamais hésiter à les chercher et à espérer les trouver, au risque de se faire traiter de tous les qualificatifs, par des gens sans cœur et sans scrupules. Quand ce jour se pointera à l’horizon, ce consciencieux professionnel de la santé étudiera sûrement votre histoire de santé. Possiblement qu’il verra à soulager enfin ces malaises insoutenables endurés trop longtemps. Ce qui vous permettra de moins ressembler à des loques humaines, à longueur de journée. Vous ressentirez un peu de répit, enfin. Finis les visites répétées dans les urgences des hôpitaux. Ainsi, il y a une chance de voir soulager vos gros bobos, ne serait-ce que de 50% pour ne pas devenir accroc des pilules chimiques. Ainsi, on risque de retrouver un peu l’apparence de goûter à un once de dignité humaine. Le budget 2010 de Monsieur Raymond Bachand, Ministre des finances du Québec Pour ce qui est de retrouver un brin de liberté face à notre santé, en ayant les moyens financiers de consulter aussi auprès des médecines naturelles, faudra peut-être attendre de toucher un revenu supplémentaire, ou encore, d’espérer retrouver une mince lueur d’espoir à travers le budget du Ministre des finances, Monsieur Raymond Bachand, qui sera déposé en ce jour à l’Assemblée nationale. Ce budget redonnera-t-il à la classe la plus démunie de la société, un nouveau souffle de vie ou l’enfoncera-t-il encore davantage dans les chemins de maladies et de pauvretés financières ?

Des jours plus heureux en santé et en finances

Des paragraphes à propos des deux cas cités plus-haut, je pourrais en écrire des milliers de pages, et ce, avec de riches expériences vécues. Je me souviens tout de même des 25 belles années où ma santé était quasi parfaite; tout comme vous tous, possiblement. Habituellement, les soins de santé sont alors rares et de très bonne qualitée. De ma naissance en 1956, jusqu’à ce que survienne un accident de travail en 1981, quelle vaine j’ai eu la chance de vivre. Hélas, ce tournant plus désolant de mon existence m’a permis de goûter à une réalité quotidienne beaucoup plus amère, autant au niveau de la santé, qu’au niveau budgétaire.

Et vous qui lisez cette opinion, n'hésitez pas à vous raconter et à m’informer du troisième cas que vous avez peut-être eu la chance de côtoyer, soit de vous payer des soins de santé traditionnels combinés avec des soins de santé naturelle et globale, ainsi que de bons produits et remèdes naturels. Parce qu’il est prioritaire de se souvenir que les êtres humains sont tous dotés d’un corps physique, psychique et spirituel; autant ceux vivant dans la classe financière pauvre, que les gens de la classe moyenne qui en arrache eux aussi, et ceux plus aisés. Il faut tout prendre au sérieux, mais rien au tragique. ( Thiers, Adolphe ) Patricia Turcotte © Le 30 mars 2010