Tout sur les compléments alimentaires.
Pour qui pour quoi ?
En 2008, on dénombrait 28 000 compléments alimentaires différents, visant essentiellement à lutter contre la fatigue (50 %) et à maigrir (29 %), mais également à avoir une meilleure apparence de la peau, des cheveux et des ongles (24 %) et plus récemment destinés à favoriser la digestion (29 %), à améliorer la circulation sanguine (25 %) et à prévenir le vieillissement des os ou de la rétine (30 %). Les consommateurs sont surtout des consommatrices, de tous âges et notamment des seniors, situés pour la plupart dans le sud et l’est de la France, ainsi qu’en région Ile-de-France. Ils ont un meilleur niveau d’éducation que la moyenne, sont globalement plus attentifs à leur équilibre alimentaire et à leur poids. L’usage des compléments alimentaires se fait plutôt en cures, par exemple au début de l’hiver, en préparation d’une exposition au soleil ou en association avec un régime amincissant… Si le complément alimentaire n’est en aucun cas un médicament, il est souvent recommandé ou prescrit par un professionnel de santé pour 54 % des adultes et 70 % des enfants. Mais la décision d’en prendre peut être spontanée (15 % des adultes) ou sur les conseils d’un proche (14 % des adultes).
Qui croire, que prendre ?
Toujours est-il qu’il n’est pas aisé de s’y retrouver dans cette jungle des produits et de leurs promesses.
En spécialiste de l’information sur les médicaments, le « Vidal » de 294 pages s’attarde sur des questions comme « Peut-on prendre des phytoestrogènes sans crainte ? », « Faut-il donner des oméga-3 à ses enfants ? » ou « Quels compléments alimentaires pour soulager les rhumatismes ? »…
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Source : Guide Vidal, Étude SDCA – TNS Sofres 2008 & Étude INCA2 – Afssa.24 € le guide Vidal. En librairie.