Bonjour les quiches,
Ce billet aurait pu s’appeler « de l’interprétation des rêves ». Oui, on va faire un peu de psychologie de bas étage, mais après tout c’est un blog de fille qui met du vernis Chanel.
Au premier semestre, nous avons eu un examen sur « psychanalyse et neurosciences » en thème allemand et une décision de la cour de justice constitutionnelle en version allemande. A se tirer une balle dans les deux cas, je te l’accorde. Surtout quand on réussit plus le thème que la version, c’est à ne plus rien y comprendre. Mais BREF, tout ça pour dire que ce petit aperçu freudien m’a éclairé les synapses.
Hier soir, j’ai fait un rêve dont je me souvenais en me réveillant ET que j’ai pu apprécier jusqu’à la fin. Ces deux faits sont assez rares pour être notés. Parce que je ne te raconte pas le nombre de fois où je me suis réveillée juste avant que ça devienne intéressant.
Analysons un peu tout ça. Ça commençait dans une patinoire qui ressemblait fortement à celle de Rouen, mais avec dix fois plus de gradins. Il y avait un monde fou, je commandais un wrap au Mac Do à côté des vestiaires.
Puis je tombais nez à nez avec le BG (évidemment qu’il y a un homme dans l’histoire, sinon c’est pas drôle). Et je lâchais la Nath comme une vieille chaussette, de même que je laissais refroidir mon wrap. Le BG a du avoir de la promotion parce qu’il avait une Audi. (ce rêve ressemble de plus en plus à du placement de marques). Et ça se termine sur les hauteurs de Clermont-Ferrand, puisqu’on voyait la cathédrale en fond.
Ca vend du rêve, quand même, Clermont-Ferrand !
Bon, ça n’était qu’un rêve, et après je me suis réveillée avec des yeux de panda.
Et je n’avais même pas bu avant !
Tu as vu ? J’arrête avec les titres en « pourquoi ». Mais je continue à être complètement tapée.