Je me vois mal le relancer sur mon écriture –d’autant plus mal que je traverse en ce moment un vide intersidéral que le désert même n’arrive à combler !
Lui écrire pour lui poser des questions ? où es-tu, que fais tu, que vois tu, raconte… non. Il est parti pour avoir la paix, s’il voulait raconter ce qu’il fait, ce qu’il voit, où il est, il le ferait sur son blog… s’il ne le fait pas, je pars du principe, respectueux, qu’il n’a pas envie de le dire.
Revenir enfin sur l’histoire du papillon ? Non, tout ce qui pouvait être dit, l’a été. Le reste, reste dans le non dit.
Les jours passent et mon « amour » pour lui trépasse. Et c’est tout à fait bien ainsi.